quelqu'un, n'importe qui...

Nombre de messages : 613 Date d'inscription : 31/07/2006

Après une trentaine de minutes la jeune femmes était de retour et Brice la trouvait encore plus jolie qu'avant.
- Ok , ben merci c'est gentil ...
La jeune femme voulut à nouveua quitter les lieux comme si elle n'appréçiait pas sa compagnie, Elle resta immobile.
Trouvai sa bizare et se dirigea vers elle et la saisit délicatment par l'épaule tout en la fixant du regard ;
- Vous ne partirez pas d'içi , moi je pense que vous etes encore sous le choc. Je vous laisse pas le choix, restez içi ce soir et vous repartirez demain matin quand vous le souhaitez.

... Ambre réfléchissait toujours, sentant une main se poser sur son épaule elle sursauta et se retourna mais à son grand soulagement elle se rendit compte qu'il s'agissait de Brise. Il n'y avait pas à dire, elle était encore sous le choc de tomber sur n'importe qui dans la rue... Un instant déstabilisée par son regard elle se reprit ensuite et répondit alors...

- Je.. Je ne veux pas trop abuser de votre gentillesse... Cela me gène..., ajouta t-elle en souriant bien que rougissante également.

Mais il est vrai que je me sens encore bizarre...

Elle esquissa néanmoins un sourire, mais demeura immobile. Que voulait-elle? Rester? Partir maintenant ?... En tous les cas, elle ne voulait pas le déranger trop longtemps... Elle fut de nouveau captivée par son regard et les mots qu'elle voulait prononcer se perdirent dans sa gorge.

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Vu Ambre rougir légèrement et Brice passa sa main sur sa joue.
- Tu me genes pas, au contraire sa me fait plaisir.
Le sourire de AMbre le réconfrota un instant. Il avait la sensation bizare qu'elle ne souhaitai pas rester et Brice était un peux embarassé.
Brice vu que Ambre fixait son regard, à son tour il regarda la jeune femme dans les yeux sans rien dire.

*baffe* Ambre se força à revenir à la réalité ! Et s'empourprant de plus belle, elle jeta des coup d'oeils embarrassés autour d'elle. Saisissant quelque chose dans son attitude, elle parla, voulant se rattraper et le rassurer sur ce qu'il semblait penser...

- Oh mais rassures-toi, ça me gène pas de rester, ce n'est pas ça... Je suis toujours gênée d'empiéter chez les gens. Néanmoins, je suis contente que ça ne te dérange pas, finit-elle en esquissant un sourire.